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C’est sur un pupitre d’écolier décoré de

dessins obscènes que tout le monde a griffonné

ses premières chansonnettes ...

Les trois larrons à l’origine des Vieilles

Margattes ont commencé leur carrière

dans la cour de leur école où résister à la

tentation d’y semer l’anarchie en musique

relevait de l’impossible.

 

Ils n’ont jamais cessé de jouer depuis : une guitare qui oscille entre pompe

manouche sauvage et flamenco brûlant sur des grilles punk , une basse

qui cogne et un accordéon qui livre toute sa fureur, tel est leur arsenal,

renforcé depuis par une batterie garantie dopée au rock’n’roll. Pourtant

c’est bien de chanson qu’il s’agit.

De la vraie chanson française ; celle qui n’a malheureusement le droit

de cité que sur scène, terrain de prédilection du groupe où l’expérience

acquise durant ses huit années d’existence et les quelques cinq-cent prestations

se libère avec rage et bonne humeur.

Car, si les textes sont ciselés et plein de colère, tous ces mots ne seraient

rien s’ils n’étaient pas habités ; donner une âme au texte, voilà la signature

des Vieilles Margattes et le gage de l’intensité de leurs concerts.

 


 

Les

Vieilles

Margattes

 


 
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